Le parcours de Jérôme : rester compétitif sur le marché de l’emploi dans la Data

« A la fin du bootcamp, je suis retourné à mon travail avec la certitude que je serai trois fois plus performant grâce aux connaissances que j’avais acquises. »

Bonjour Jérôme, pourrais-tu te présenter, s’il te plaît ?

Je m’appelle Jérôme, j’ai 29 ans et je suis CTO chez Place Called Home, un label de musique basé à Berlin. Avant cela, j’ai étudié l’informatique et l’analyse de données. Après mon Master, j’ai suivi le bootcamp Data Science du Wagon à Bruxelles et, plus récemment, le bootcamp Data Engineering à Paris.

Qu’est-ce qui t’a motivé à rejoindre le bootcamp Data Engineering ?

Plusieurs raisons m’ont poussé à rejoindre ce bootcamp. D’abord, après avoir observé les tendances sur le marché de l’emploi, il m’est apparu clairement qu’il y avait une demande grandissante pour les compétences en Data Engineering. Le bootcamp m’a semblé l’option idéale pour renforcer ma position sur le marché du travail et affiner mes compétences.

Ensuite, mon travail quotidien requiert une grande quantité de compétences en matière de Data Engineering, compétences que je ne possédais pas encore. J’ai souhaité perfectionner mes capacités dans ce domaine pour gagner en efficacité et en autonomie dans mon travail.

Enfin, quand on travaille à temps plein, avec une moyenne de 40 heures par semaine, il est difficile de se tenir au courant de tous les nouveaux outils et technologies. C’est pour cela qu’il est essentiel de voir les formations intensives comme le bootcamp Data Engineering comme une pratique courante dans l’industrie. En seulement quelques semaines, on peut acquérir un tout nouvel arsenal de compétences pour être plus efficace et pertinent, et appliquer ces nouvelles connaissances directement dans son secteur d’activité.

Qu’espérais-tu accomplir en suivant ce bootcamp ?

En bref, mon but était d’améliorer ma productivité. Le programme du cours, qui couvrait plus de 30 outils différents, m’a vraiment impressionné. Cela m’a apporté une grande valeur ajoutée, car je suis retourné à mon travail à la fin du bootcamp avec la certitude que je serais trois fois plus performant grâce aux connaissances que j’avais acquises.

Pourrais-tu nous parler de ton expérience générale du bootcamp ?

Ce fut une expérience enrichissante. Comparé aux autres bootcamps que j’ai suivis, les participants ici étaient plus techniques, avec une plus grande expérience dans leurs entreprises respectives. Par conséquent, l’expérience a été incroyablement instructive et a favorisé un partage de connaissances très enrichissant.

C’est vrai, ces quelques semaines ont été intenses, mais je pense que c’est une excellente façon d’approfondir le sujet. De plus, il y a toujours la possibilité de réviser le contenu une fois le cours terminé.

C’était également une merveilleuse occasion de découvrir Paris, une ville que je ne connaissais pas, durant ces quelques semaines.

Y a-t-il des compétences ou des outils spécifiques que tu as appris et qui t’ont aidé dans ton poste actuel ?

Le cours a couvert une multitude d’outils et de technologies, y compris des outils de modélisation des données et des concepts tels que l’ORM, l’OLAP, SQLAlchemy, Alembic ; des outils de gestion des pipelines et des workflows de données comme Airflow, ETL, ELT, ETLT et dbt ; ainsi que des outils de conteneurisation et d’orchestration comme Docker et Docker Compose. Et beaucoup d’autres sujets ont été abordés !

En savoir plus sur le bootcamp Data Engineering.

Comment le fait d’avoir suivi ce bootcamp a-t-il influencé tes objectifs de carrière et ta trajectoire ?

Je suis enfin en mesure d’être plus efficace dans mon travail. Professionnellement, je me sens beaucoup plus confiant, sachant que je suis désormais plus compétitif sur le marché du travail.

Aurais-tu des conseils pour quelqu’un qui envisage d’améliorer ses compétences en ingénierie des données ?

N’hésite pas à t’inscrire à ce bootcamp ! Que tu sois orienté carrière, freelance ou entrepreneur, cela te permettra de te différencier de la concurrence.

Merci Jérôme !